« Pas de parti pris », assure le collectif « Des religieux pour la sauvegarde de la paix civile » qui cherche désormais à rencontrer la plaignante, mais cela n’est pas si simple : « Cela traîne un peu parce que d’après ce que ses avocats m’ont dit, depuis le dépôt de sa plainte, elle ne cesse de recevoir des menaces de mort et puisqu’elle a droit à une protection de son intégrité physique, l’État a pris les dispositions pour qu’elle bénéficie d’une garde rapprochée, etc. »
Une médiation pour faire baisser la tension, mais la procédure suit son cours : Ousmane Sonko est donc convoqué mercredi matin par le juge d’instruction. L’opposant a déjà affirmé qu’il ne répondrait pas à une convocation. Dans ce cas, le juge pourrait alors décerner un mandat d’amener.
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